mercredi 13 mars 2013

Nous sommes en vie !



Vous le pressentiez surement, notre absence ces derniers temps n’avait rien de naturel. Rassurez-vous, le syndrome Zebina ne nous a pas frappé, nous avons la forme (et les rondeurs qui réchauffent les cœurs), mais, à la manière de Mika Firmin, nous étions contraints et forcés à la discrétion. Explications.

Vous vous demandez surement ce qui a pu ainsi nous réduire au silence, alors même que nous avons l'habitude des pressions. A l’automne dernier, alors que nous assistions paisiblement à un entrainement, nous avions même été pris pour cible par un joueur qui nous avait reconnu à notre banderole "Pour le maintien, hip hip hip". Heureusement, la puissante frappe du joueur concerné est passée bien au-dessus de nos têtes. Tourné en dérision, il a préféré quitter le pays peu après.

Mais tout cela n’est rien à côté de ce qui nous est arrivé il y a quelques semaines. Alors que nous nous promenions tranquillement en ville, nous avons croisé Wissam Ben Yedder, affalé au comptoir d’un restaurant-bar à tapas. Devant lui gisaient quelques dizaines de verres vides, et à peu près autant d'assiettes. Le regard dans le vide, celui que ses coéquipier appellent « la barrique » était en train de raconter l’époque bénie où il marquait des buts à un dessous de verre, qui avait l’air sceptique. Intrigués, nous nous sommes approchés et avons découvert l'horrible vérité : il se passe quelque chose de terrifiant au Téfécé. Presque aussi terrifiant que le sourire inhumain de Cheikh M'Bengue, alias Scream.

Nous avons suivi la piste jusqu’à Luzenac, où nous en avons appris plus auprès de certains « exilés ». Mais nous avons été repérés. Notre boite mail s’est petit à petit remplie de messages pour le moins troublants. D’abord une invitation à jouer aux échecs sur Facebook par Franck Tabanou. Nous avons flairé le piège, Francky l’Intello ne connaissant pour pour seuls échecs que ceux systématiques de ses passements de jambes. Un peu plus tard, ils sont revenus à la charge avec une invitation à jouer au bowling avec Jonathan Zebina. Mais nous ne sommes pas dupes, nous savons fort bien qu’il n’a pas le physique. Dans l'ombre, nous avons œuvré pour révéler à tous l'odieuse vérité. Nous revoilà, pour le maintien et pour le pire.

Quel est donc cet odieux complot qui nous a réduit au silence? La réponse, si Dieuze le veut, dans la chronique spéciale de Bergougnoux, à découvrir bientôt sur JLM.

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